Les plantes invasives ne posent pas que des problèmes en France, parmi les traqueurs on peut citer :
– Le Projet ALIEM : https://www.aliem-network.eu/
Certaines espèces envahissantes ont un fort potentiel reproducteur, et en présence d’un milieu favorable, elles peuvent le coloniser en absence de prédateurs, antagonistes ou maladies.
Il est donc urgent de se préoccuper de ces questions, car les espèces envahissantes sont aujourd’hui considérées comme une cause majeure de perte de biodiversité dans le monde.
C’est dans ce contexte de risque renforcé que le projet ALIEM (Action pour Limiter les risques de diffusion des espèces Introduites Envahissantes en Méditerranée) s’est imposé comme une évidence pour l’ensemble des régions du programme Italie France Maritime, toutes cinq représentées dans le projet et parties prenantes de la lutte contre les EEE à l’échelle de leurs territoires.
– https://invasivespeciespickmyapp.com/
– Invasive.org : https://www.invasive.org/index.cfm
– Imapinvasives : https://www.imapinvasives.org
Trois projets similaires de suivi des espèces invasives végétales et animales en Amérique du nord (USA et Canada) – sites en anglais
– planttracker : https://planttracker.org.uk/
Autre projet au Royaume uni – site en anglais
Dans un domaine différent mais tout aussi « envahissants » :
– Marine Debris Tracker : https://debristracker.org/
À 48 ans, l’américaine Jenna Jambeck, professeure à l’Université de Georgie, vient de recevoir le prix 2022 de la fondation Mc Arthur (fondation qui récompense les travaux qui ne rentrent pas dans la catégorie des Nobels et qui, pourtant, en mériterait un).
Le monde entier, les médias, les gouvernements, les ONG, l’ONU, reprennent le chiffre que son analyse de données a produit : chaque année, huit millions de tonnes de plastique finissent dans les océans. Un chiffre vertigineux mais qui permet de mesurer l’ampleur du problème à affronter.
Et son pendant français : https://oceanplastictracker.com/